La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1498)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1488) -

Après cela, il était sans doute déjà le petit matin. Ils quittèrent le "Cercle des Supérieurs". Chloé put remettre sa robe remise par l'esclave qui gérait ce jour-là le vestiaire et ils rentrèrent ...

… C'était le dernier dimanche avant la reprise des cours à la faculté. Ayant servi Son petit-déjeuner au Noble j'avais naturellement pris place sous la table afin de soulager le Maître d'une forte érection matinale... Ainsi je reçus un large flot de semence, épaisse et abondante, constituant le délicieux petit-déjeuner d'un esclave pour qui cette "nourriture" est aussi sacrée que savoureuse. Ayant remercié Monsieur le Marquis d'avoir daigné m'accorder l'honneur de Sa Jouissance, Il annonça que la journée serait fort occupée et que nous allions nous rendre chez la jolie voisine de palier devenue à la fois Sa soumise et Sa disciple en Domination. Je suivais donc le Maître en quadrupédie jusqu'à devant la porte de Chloé. Le Maître disposait des clefs de l'appartement de la voisine, en tant que Maître car le pouvoir d'y accéder selon Son bon vouloir devenait de fait une nécessité. Et la jolie trentenaire se devant naturellement d'être en permanence prête à être disponible et accessible à tout instant. Ainsi, en ce dimanche matin, lorsque le jeune Noble entra chez elle, avec Son esclave le suivant à quatre pattes, trouva-t-il la belle voisine intégralement nue, son joli cou seulement orné du collier de métal que le Maître lui avait offert, portant gravé dans l'acier le monogramme de la Famille d'Evans et les simples mots : Propriété de...

Immédiatement, tandis que je stoppais mes mouvements, Chloé vint se prosterner aux Pieds du Maître, touchant le sol de son front... La belle soumise attendait ainsi les reins cambrés, la croupe offerte et j'observais la même pose, nous tenant tous deux dans la plus servile des positions, afin d'exprimer au Maître notre absolue disponibilité et notre soumission à Son Emprise la plus totale.

Le Noble demeura ainsi immobile et silencieux durant plusieurs minutes, contemplant deux de Ses créatures ainsi ouvertement dépendantes de Son bon vouloir...

- Bien, dit-il d'une voix détendue. Nous avons du travail aujourd'hui. Car, toi chienne Chloé, il n'est plus possible que tu continues de vivre ainsi comme tu le faisais avant de t'engager envers Moi. Désormais tu es à Moi, tout comme ce chien d'esclave qui se tient si servilement à Mes Pieds. Mais si lui a renoncé à tout, dépouillé de toute autonomie et de tout droit à posséder pour être possédé corps et âme, toi, Ma belle soumise, tu dois encore apprendre certaines règles que j'aurai indubitablement plaisir à t'inculquer avec la plus extrême fermeté. Es-tu prête, Ma belle chienne ?
- Oui, oh oui Seigneur et Maître, je Vous implore de consentir à prendre ma vie en main et à me guider afin de Vous appartenir et de Vous satisfaire en toutes choses, seigneur et Maître, répondit Chloé d'une voix humble mais affirmée qui soulignait la profondeur de son engagement.
- Parfait, alors nous allons commencer par ta garde-robe. Tu devras désormais toujours en passer par Moi, quel que soit l'achat que tu souhaiteras effec. Tu en passeras toujours par Mon consentement, quelle que soit la pièce de vêtement que tu espéreras avoir la permission d'acquérir. Mais en attendant, comme tu dois naturellement pouvoir te rendre à ton travail et évoluer en société, nous allons faire le tri dans tes tenues actuelles et Je choisirai ce que Je t'autorise à conserver. Le reste nous en ferons don à une œuvre caritative….

Et c'est ainsi que Chloé et moi suivant à quatre pattes le Maître, nous nous rendîmes dans le vaste dressing de la jeune experte en finances, afin que Monsieur le Marquis y fasse le tri... Les pantalons furent la première chose définitivement bannie de cette garde-robe où se côtoyaient les marques les plus prestigieuses. Exit également les chaussures plates, les tee-shirts, et un certain nombre d'accessoires jugés inutiles.
Chloé et moi, nous tenions debout, tenant chacun un grand sac poubelle noir dans lequel le Maître, dont nous étions les propriétés, jetait tous les fringues qu'Il jugeait superflus. Si je n'étais qu'un support, Chloé pour sa part voyait ainsi disparaître un grand nombre de choses qu'elle avait choisies, appréciées, des vêtements qui lui tenaient à cœur...

Et si lorsque le Noble avait pris possession de moi, je n'avais eu à renoncer qu'à une liberté qui n'avait aucune valeur en regard du destin qu'Il daignait m'accorder, pour Chloé, c'était tout autre ! Car c’était tout un pan de son existence construite jusqu'ici qui disparaissait, chaque fois que le jeune Châtelain jetait ainsi un chemisier pas assez échancré, un pantalon qui n’a pas lieu d’exister chez une soumise, de la petite lingerie jugée pas assez sexy...

La belle soumise demeurait stoïque face à tout ce qu'elle voyait disparaître à jamais. Et le jeune Edouard d'Evans prenait tout Son Temps. Il prenait une parure, l'examinait, parfois la humait ou l'approchait du visage de Sa soumise, la caressant au passage avec les fines étoffes que plus jamais elle ne porterait sur son corps... Cela dura longtemps, car le dressing de la belle voisine était particulièrement fourni. Mais après l'inspection du Maître, plus de la moitié des pièces qui le composaient avaient disparu. Tandis que je revenais de déposer bon nombre de grands sacs sur le palier entre les deux appartements, je retrouvai le Maître et Chloé dans le salon. D'un simple geste, Monsieur Le Marquis m'enjoignit l'ordre de venir aux Pieds et je m'y prosternai prestement.

- Vois-tu Ma belle chienne, dit le Maître, maintenant que tu es parfaitement investie de ta condition de soumise à Mon égard, Je veux développer en toi une autre facette que Je pressens et qu'il Me plaira de façonner avec le temps : Si tu M'es totalement soumise, Je suis convaincu que tu peux aussi laisser s'exprimer en toi une nature dominante. Certes, tu ne seras jamais digne d'intégrer le Cercle des Supérieurs dans la catégorie des Dominants, mais tu n'es pas une esclave, tu n'es qu'une soumise, ce qui te place légèrement au-dessus de ce chien prosternée à Mes Pieds.
Je veux donc que tu laisses s'exprimer cette seconde nature en toi. Nous te trouverons un ou une esclave que tu devras à ton tour dresser sous Ma houlette, naturellement. Mais en attendant, tu pourras exercer cet aspect de ta personnalité sur Ma chose, ainsi que tu l'as déjà fait en utilisant le paddle, l'autre fois. Comprends-tu ?
- Oui Maître, je Vous remercie de prendre ainsi mon humble vie en mains.
- C'est bien... Je suis satisfait de ton attitude face à cet indispensable tri dans ton dressing. Et je te rappelle que tu devras désormais obtenir Mon accord pour tout achat, vestimentaire ou autre. Et pour savoir comment tu devras te vêtir au quotidien, tu viendras le dimanche chez Moi et Je te dicterai les tenues que Je t'aurai choisi pour la semaine. Ainsi tu seras débarrassée de toute initiative puisque tu M'appartiens et que tu n'as plus la moindre autonomie d'action… Bien ! Nous y reviendrons, mais maintenant Je veux te voir exercer le pouvoir sur un être encore plus soumis que toi... Regarde bien cet esclave à Mes Pieds, il est la plus humble et vile créature qui soit, né pour être esclave, m'appartenant corps et âme, il va nous servir de cobaye.

Immobile et silencieux, je savais d'instinct que j'allais sans doute être soumis à rude épreuve. J'entendis le Maître et Sa belle soumise quitter la pièce, sans doute pour gagner l'appartement du Noble. Puis revenir, quelques minutes plus tard. L'initiation de soumise Chloé allait commencer, ce qui signifiait des moments difficiles pour moi... Dès les premiers coups qui s'abattirent sur ma croupe, je reconnus le paddle que Chloé avait déjà utilisé sur moi. Mais cette fois-ci, les coups étaient donnés avec plus de détermination. Toute hésitation semblait avoir disparu du geste implacable qu'elle accomplissait avec régularité : Lever le paddle et l'abattre fermement sur mon cul, puis relever et recommencer... je sentais ma croupe devenir brûlante sous les coups répétés avec une parfaite précision.
Lorsque cela prit fin, j'avais réussi à ne pas gémir, mais j'imaginais mes fesses terriblement rougies. Et je vis la pointe d'une botte s'avancer et un ordre bref :

- Lèche !…

(A suivre …)

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